Un papillon trouve son nid...

Okuri venait d'arriver quand elle remarqua une forme noir décendre du toit.
* Qui ça peut bien être ? *
Okuri s'avança silencieusement.

* Je me suis déjà fait repérer *
Okuri s'avança et observa la personne qui l'avait interpellé. Elle avait des ailes noires.
" Je m'appelle Okuri si tu veux savoir "

Okuri alla voir la deuxième personne. Elle semblait normale.
" On m'a dis la même choses. Miharu, on dirai que tu es du coin toi. "

Sheoth avait suivit a conversation dans son coin,dissimulé dans l'ombre.quand il décida qu'il en avait assez entedu,il sortit de son petit recoin tout noir,et se méla aux trois autres personnes,avançant lentement vers elle de sa démarche éternellement trainante.autour de lui quelque rats couinérent et filérent ventre à terre.es animaux,en particuliers les plus petit,sentaient trés bien les problémes arriver.Le jeune homme se planta à côté de Kay'n.Non pas qu'il avait envie d'être proche d'elle,mais elle était la plus prés de sa position initiale,il n'aurait donc pas à se fatiguer outre-mesure.

aujourd'hui,il portait fiérement,en plus de son éternel couvre chef griis,un petit costume signé armani,noir et blanc,sobre et élégant.Il tura un paquet de gauloise d'une de ses poches,ainsi qu'un briquet,qu'il utilisa pour les allumer.aussitôt,le bout rougeoyant de sa cigarette se mit à luire étrangement ort dans la pénombre envirronante.Glissant ses mains dans ses poches,il modula ensuite une phrase,d'une voix toute aussi fatiguée que sa démarche:

"Salut les copains.Ca roule?J'm'appelle Sheoth,j'aimerais vivre ici.Donc,je le ferais.Alors,de gauche à droite,j'ais Miharu,Okuri et ... ?je ne crois avoir etendu ton nom clairement dans mes vapes...

Il tira ensuite une longue bouffée de sa clope,aissant passer un épais nuage grisatre,enfumant l'espace environnant autour de lui.Un petit craquement sec et quelques aboiements se firent entendrent.Les premiers animaux qui se tapaient la tête contre les murs? En tout cas,il pouvait toujours conter sur son aura de folie.Il allait se divertir joyeusement ici,il le sentait dans ses veines.Veines qui palpitérent alors en produisant un bruit sourd,qui emplit l'espace sonore de maniére encombrante,comme sa clope avait monopolisé l'espace visuel...

Le jeune homme resta seul avec Okuri,et la regarda avidemment,un peu comme un chien qui s'aprête à sauter sur un pavé de rumsteak.Les deux personnages qui venaient de quitter les lieux semblaient trés réceptif à son aura.Son travail ici n'en serait que plus,et cette pensée le réjouissait.Il se demandait combien de temps il allait devoir jouer les gamins immatures.Mais aprés tout c'était marrant de s'amuser à changer de comportement.Et il savait que le meilleur moyen d'atteindre la trés grande illumination révélatrice des véritées fondamentales,autrement,le chaos le plus totale,était de se laisser paresseusement porter par le cours du fleuve qu'l appelait la trame existencielle.Mais cees idées métaphysique chaotiques ne l'interessaient pas,pour le moment.Il avait encore une fois obtnu ce qu'il voulait,c'est à dire vivre ici,pour l'nstant.

Et qui savait,peut-ête allait-il se faire de nouveaux amis? Il en frétillait deja d'impatience.Quitant le magma bouillonant qui lui servait d'esprit,il reporta son attention sur la derniére jeune fille qui restait en ces lieux.était-elle trop apeurée pour répondre? Il nota au passage quelques pépiements incohérents,suivit de froissements d'ailes et de bruits de chocs et de chutes.Aprés les rongeurs,les volatiles.A quand les canidés?

Il décida d'engager la conversation avec la jeune fille,et prononça d'un ton enjoué:

"Et toi,ça va ? Okuri,hein?

Iltira une longue bouffée de sa cigarette,enfumant un peu plus l'espace dans lequel il se trouvait,avant de continuer:

"T'en pense quoi,ds gars qui viennent de partir? Ils ressemblent un peu à des cordes épaisses,non? raides et fexibes à la fois...J'ais bien envie de les tendre jusqu'a ce qu'ils cassent...

puis,il partit,suivant tranquillement ses nouvelles connaissances,sans se procuper plus longtemps de la jeune fille à qui il venait de parler.sifflotant comme il pouvait,géné par sa clope,il avançait d'une démarche trainante,et se raprocha pourtant rapidement de Kay'n... Avec un nom et des conseillers pareils,elle risquait d le divertir follement.Pour l'heure,il se contenta de la suivre sans rien dire,la détaillant avec un sourire en coin.

Felysto arriva devant l'entrée en volant .
- Bizarre, l'endroit semble désert !!!

Il s'approcha de la porte et toqua un grand coup :

Il y a quelqu'un ???

Tiens, la porte est ouverte entre !!!

Suite dans le salon